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Bien sûr, Genève possède le quartier des Pâquis, des saunas, des clubs et des salons de massages… Mais à Lausanne, le sexe est plus démocratique. Lieux dévolus à une sexualité non tarifée Nous ne parlons pas de prostitution, mais de lieux dévolus à une sexualité non tarifée. Ainsi, la ville compte un des plus grands cinémas X du monde encore en activité, le Moderne. Mais aussi le club Trafick, qui mêle dans ses soirées, fait rare, clientèle hétéro, homo et bi. Le temple du cinéma X Depuis trente ans, le Moderne, salle historique de la ville, est dévolue à la pornographie sur grand écran. Les riverains détournent pudiquement les yeux de la belle façade classée de

Un an avant la Fête des Vignerons la Ville préfère fermer des lieux d’aisances insalubres.

Lingettes à tout faire : attention, envahissement nuisible! L'émission du 13 novembre Les lingettes inondent le marché. Dans ce secteur, les fabricants débordent d'imagination, la gamme ne cesse de se baisser. Pourtant, ces lingettes cachent parfois des produits peu recommandables pour la tempérament, et ne sont pas sans coup sur l'environnement. La famille lingettes ABE a rencontré une famille accro aux lingettes, dont la variété est surprenante. Ladite famille est prête à défourailler le fameux tissu humide dans quasi toutes les situations. Il y a lingettes humides pour se débarbouiller. Les lingettes ont également trouvé leur situation dans les toilettes : c'est si doux et si agréable pour bien des fesses bien propres.

Le temple du cinéma X

Aussi à Genève que Lausanne, Berne soit Zurich, les femmes doivent débourser 2 francs pour faire pipi, tandis combien les hommes ne paient que 1,50 franc. Interrogés, les CFF nient toute discrimination et rappellent que les ajustement sont mixtes et gratuites dans les trains. Ils renvoient la responsabilité avec ces différences de tarif aux exploitants privés qu'ils ont mandatés, soit la société zurichoise Vebego et la boîte bâloise Mc Clean. Or, sur sa page internetelle l'inscrit clairement: WC-cabine soit pissoirs, les prix sont les mêmes. Quant à Vebego, elle a exact indiqué que la police des récompense n'avait pas été élaborée par ses soins. La Vaudoise rappelle ainsi les tarifs différents pour les mousses à raser, les rasoirs ou les parfums quand ces produits s'adressent aux femmes, ou encore la TVA trop élevée pour les produits exclusivement féminins, ainsi les serviettes hygiéniques ou les tampons. Pour rappel, l'ex-conseiller national socialiste vaudois Jean Christophe Schwaab avait déposé par un postulat pour que le Assemblée fédéral examine l'existence d'une taxe brillant en Suisse. Sa demande avait été rejetée, Berne estimant que le révérence des pratiques commerciales, notamment l'affichage évident des prix, suffisait.